De très bonne heure, dans sa carriole, il charge son étal, puis il attèle « Bijou » son cheval et le voilà parti sillonner, de ferme en ferme, la campagne avoisinante. Il faisait aussi négoce au marché des villages voisins.
Une deuxième carriole dont la partie étal étant amovible devait servir pour les grandes tournées, le boucher ayant un siège pour la conduite.
L’IMPLANTATION SUR LE SITE
Le Musée accueille des visiteurs de différents horizons Du public Français Du public International Ou encore des Personnalités Médiatiques
La bujhée ou lessive à l’ancienne. Le gros linge (draps, torchons, serviettes) était lavé à la cendre deux fois par an, au […]
Tirées par un cheval ou un bovin, elles étaient guidées par le cultivateur. En fonction de l’ouvrage il choisissait son outil pour […]
